Pour les auteurs de Krisis, c’est le travail lui-même qui - au moins dès que les hommes se sont organisés en société hiérarchisée - est le capitalisme. Même si - ils te rejoignent sur ce point - ça ne s’est pas fait du jour au lendemain : « Il aura fallu des siècles de violence ouverte pratiquée à grande échelle pour soumettre les hommes au service inconditionnel de l’idole Travail, et ce, littéralement, par la torture. » Au fur et à mesure que l’Etat a pris de l’importance, que « le besoin de l’argent avait monétarisé les impôts tout en les augmentant de façon exorbitante » est née « l’idée absurde de (...)