« Il aura fallu des siècles de violence ouverte pratiquée à grande échelle pour soumettre les hommes au service inconditionnel de l’idole Travail, et ce, littéralement, par la torture. » : 100% d’accord, mais c’est un peu dommage que Krisis s’en prenne au travail lui-même, non à l’exploitation qui en est faite. Faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain. Je pense en particulier au travail artisanal sur lequel, à ma connaissance, tout le monde oublie de se pencher, y compris les économistes. Beaucoup de travailleurs entrent dans cette catégorie, (y compris les informaticiens d’autrefois, maintenant c’est (...)