Ben finalement, vous partagez la même analyse, toi et Krisis : ce qu’ils désignent sous le terme travail est tout ce qui aliène l’homme, mais ils mettent à part ce qui lui permet de se réaliser, ce qu’il fait parce qu’il y croit et qu’il aime, ce labeur qui n’en est pas vraiment un. Ce n’est pas le corps du livre, parce que leur principal propos est de s’en prendre à « l’idéologie travail ». Et je ne l’ai pas évoqué, parce que ce n’est traité que par la bande dans le livre. Mais il est clair que ce travail d’un vigneron respectueux que tu évoques ou l’ouvrage d’un artisan passionné n’a pas vocation à être mis (...)