Génial ! Je viens de terminer le « Seigneur des porcheries ». Il y aurait un peu de Brautigan dans Egolf. Sans doute le côté « dézingué », punk, à la marge... Une fable sociale dans laquelle on patauge littéralement avec John K. du début à la fin du récit. Les situations sont certes exagérées, mais on y retrouve tous les maux sociaux récurrents : l’exploitation, les conditions de travail infectes, l’incapacité des politiques, de la police, le fait qu’un grain de sable (un très gros grain, en fait , le coup des ordures !) peut dérègler complètement le fonctionnement d’une société qui ronronne...
Et puis ce (...)