Maintenant y a un monde entre les grosses boites d’éditions (Hachette et compagnie) et la myriades de (moyens et) petits éditeurs, dont la plupart seraient bien incapables d’embaucher, sans se foutre rapidement dans la merde. : C ’est sûr, mais ils ne représentent proportionnellement qu’une infime partie des employés de l’édition. Et pour les petits, cette situation financière dont tu parles les obligent souvent à fonctionner avec pléthore de stagiaires et des salaires riquiquis (mais bon, ça n’a rien à voir : entre s’échiner pour une maison à taille humaine qui fabrique des livres auxquels tu peux (...)