Faire ainsi de la réclame pour le rosé, c’est honteux. Vous me faites de la peine. J’ai donc décidé de m’abonner puis d’acheter de temps à autre un numéro dans différents kiosques (pour stimuler la demande), dans l’espoir que soudain déniaisés par l’afflux de richesse, vous passiez enfin à une boisson plus digne. Le Château Petrus ou le Clos de Vougeot, par exemple.