De notre côté...
Très bon souvenir d’un biniou, à Nation, pendant le C’est peu : galvanisés que nous en fumes, bien qu’enfumés et gazés dans les joyeux bruits des voix émeutières !
Votre synthèse est excellente et mériterait de sortir sous forme de brochure. Peut être un contre-point du constatif (qui serait constitué du rôle des chants, rires et slogans enragés retournant l’avènement de la peur sourdement manifestée par les lourds silences collectifs des porteurs de mains nues que nous sommes) ferait-elle une belle cinquième partie (...)