Ah ces Sonny Boy, ils s’entremêlent toujours. Sache cependant que le 2 est né avant le 1 (deux ou quinze ans avant selon les versions), alors je trouve plus juste de donner l’aïeulité à celui, qu’en outre, je préfère largement question frissons. C’est peut être musicalement faux, mais je ne tiens pas plus que ça à la vérité quand Sonny Boy II chante. As said Don Quichotte...
Otis Spann, O Lord, débarquera un jour en ces chroniques, j’en fais le serment. J’accumule j’accumule des « dossiers » sur lui et toujours il brille, humainement et (...)