Et tiens, je relève un mensonge de plus dans l’article ci-dessus (qui est devenu le bréviaire de Fleur Pellerin pour éconduire les miséreux de la culture et de la communication à qui elles coupent les vivres, intermittents en tête) : « ... les morts de Charlie Hebdo (qui se sont toujours souciés comme d’une guigne de ces problématiques)... » Moi qui ait travaillé à leurs côtés, y compris sur les problèmes de tunes, je peux vous dire que Choron, Cavana et les autres ont passé leur vie à chercher du pognon partout où il y en avait pour faire vivre leurs journaux, jusque dans les endroits les plus crados !!! (...)