Les « programmes sociaux », c’est quand ça s’arrête qu’il y a désaffection. Je ne vois pas en quoi ce choix est blâmable, sauf si cela fonctionne comme une œuvre de charité, à savoir de façon partielle et partiale, et accompagné de battage publicitaire.
Et sinon, je ne vois pas comment on peut toucher une population complètement désespérée, enfermée dans des quartiers délabrés où le chômage était endémique, en particulier parmi la population noire masculine, et qui en avait assez des paroles lénifiantes des bons pasteurs noirs qui leur promettaient la fin de la ségrégation depuis dix ans et plus.
Quant au (...)