Papini, quand même… … « traquer les premières manifestations du mal dans un Gog (1932) détaché des fourvoiements de l’auteur, c’est papillonner hors du texte. » Bon, Papini n’est pas Céline, il est pire. D’abord, son écriture est moins intéressante (question de goût, j’admets). Ensuite, en 1932, Mussolini est au pouvoir depuis 11 ans, Papini n’est donc pas ignare de ce qu’est le fascisme. En 1945, Céline évite de peu le procès, puis se tait. En 1945, Papini s’associe avec l’extrême-droite catholique italienne, la même qui fomente des coups d’états avec des généraux pourris et organisent des attentats ici ou (...)