samedi 5 novembre 2011 à 21h36, par Alcara Li Fusi
Tout d’abord je veux dire que c’est presque un soulagement de trouver un lieu apparenté à l’anarchisme qui se préoccupe de littérature et dont les différentes opinions exprimées ne considèrent pas a priori les gens qui écrivent comme quantité ou négligeable ou à vilipender sans ménagements et sans considérations sensibles d’aucune sorte. Après une vie entièrement sacrifiée à la bonne vieille cause la répression dont il a été l’objet, a conduit Victor Serge à consacrer le restant de ses jours à l’écriture. Qui pourrait l’en blâmer ? Dans le militantisme, selon l’orthodoxie de ses plus grandes gueules, il y a de (...)