Bon, allez les p’tits d’jeuns, on vous pardonne et on vous aime bien...
les p’tits merdeux qu’on était dans l’temps d’avant, genre soixante-huitards, on rencontrait des vieux croulants qu’avaient connu la révolution allemande, ou russe, ou le front popu (z’étaient vraiment croulants !), et puis ceux de Barcelonne ou d’Aragon, ou des maquis, ou les réfractaires d’Algérie, des pieds-rouges...
Bref, nos ainés, quoi...
Pétard ! On les a jamais accablé d’avoir raté leurs objectifs...
Pourriez un peu nous border dans nos plumards, bordel !
Nous aussi on s’est senti proches de Saint-Just, calomniés et (...)