On peut faire de bonnes tomates sous serre (et en pleine terre), accessoirement ce sera plus « bio » (notez les guillemets) car besoin d’un peu moins de traitements en raison de la non-exposition à la pluie.
Les principaux problèmes sont :
× la courses aux prix bas et la concurrence et marché globalisé qui entraine une dérive productiviste.
× des distributeurs et la majorité des consommateurs qui veulent avant tout du prix bas et de la tomate visuellement calibrée.
En conséquence la filière privilégie des variétés selon des critères de productivité et esthétiques. La majorité des fruits ne sont (...)