Jacques B., je t’envie : tu n’as pas encore découvert Gérard de Nerval, le doux, le merveilleux Gérard et tu vas passer des moments aussi superbes qu’avec Panaït Istrati !
Et puis merci pour le récit de ton périple, merci d’avoir rappelé à nous ce magnifique écrivain que fut Istrati, qui a eu le tort, comme Victor Serge, de dénoncer trop tôt l’horreur et l’imposture staliniennes et qui l’a payé si cher.