« Pour ce qui est de la Syrie, S. Q. pourrait au moins faire l’effort de lire la presse étrangère où l’on trouve encore des journalistes non inféodés aux artisans et aux partisans de l’avènement d’un « Grand proche orient » » : de quelle « presse étrangère » s’agit-il ? Il faut sûrement comprendre celle de Poutine, celle des mollahs d’Iran, celle du Hezbollah, et celle du PC chinois. Ou bien ?