samedi 24 mai 2014 à 18h07, par Nous sommes légion
Kusturica, qui sait de quoi il parle si j’ai bien compris, a des sociétés roms contemporaines une vision nettement moins angélique...
Il montre certes la joie de vivre, mais aussi une violence effroyable et des rapports de domination interne qui ne cèdent rien en termes de dureté et d’exploitation à la domination externe.