Certains journaux, c’est comme les gens qu’on aime : on croit qu’ils sont éternels, qu’ils seront toujours là à nous réchauffer le coeur et l’esprit, et puis un jour, patatras ! Ils disparaissent.
Bon, le site continue, c’est une bonne chose, c’est d’ailleurs par là que tout avait commencé, mais enfin on regrettera le papier entre les doigts, la mise en page malcommode, l’exemplaire qu’on donne à quelqu’un de rencontre ou à l’ami malheureux qui, non, ne connaît pas Article XI. Et tant que j’y suis, merci aux frangins, à toi JBB pour le portrait du fringant amateur de chiourme et de flicaille, le pisse-copie (...)