Sommes-nous prêts à mourir pour qu’Areva puisse continuer à exploiter des mines d’uranium au Niger et la question du pourcentage à rétrocéder éventuellement aux généraux kleptocrates algériens mérite-t-elle vraiment que nous risquions notre peau ?
Pour ma part, absolument pas. D’autant plus qu’Areva a la fâcheuse tendance de laisser traîner des jouets dans la nature, contaminés cela va sans dire...