Où l’objectivité musicale déserte devant la canicule et un job d’été pourri. Où - perdu à la réception d’un hôtel sans âme - on vilipende ceux qui osent célébrer l’été gazouillant. Où « Summertime », une des ritournelles les plus ânonnées de l’histoire musicale se voit roulée dans la fange, renvoyée chez sa maman. Et où la conclusion est (presque) catégorique : on ne la pleurera pas.
1/ Summerophobie urbaine
L’été, c’est pourri. Surtout à Paris. Les rues fondent et se brouillent dans la fournaise tandis que les (...)