Ce n’est pas pour quémander une meilleure répartition des richesses qu’il faut se battre, mais bien une appropriation collective de celles-ci et une réévaluation de ce qui compte vraiment. Sans être capable de proposer des alternatives concrètes, nous nous en remettons systématiquement à ceux qui était déjà là avant.
En Guadeloupe, le rapport de force a seulement été repolarisé, mais en aucun cas inversé. La même élite reste en place. Il fallait qu’elle soit ex-propriée. Cette tare est systématique dans l’essentiel des mouvements populaires et sociaux, même les plus radicaux : l’impression d’un manque de (...)