Article tristement édifiant, même après une seconde lecture. Qu’elles sont lointaines les années où, étudiant en Psychologie, on enseignait que les milieux psychiatriques avaient considérablement évolués depuis la « grande époque » de Pinet & Esquirol à la Salpêtrière. L’on se rend compte que si le milieu avait effectivement évolué depuis le XIXéme siècle, sous l’impulsion de la psychanalyse, entre autre , c’est _in fine_ pour régresser de façon spectaculaire : Pinet & Esquirol sont loin devant.
Voilà un domaine qui n’échappe pas, lui non plus, aux disparités de classe (et, en forçant légèrement le (...)