Ivan Illich avait écrit un petit article bien sympa sur le sujet.
Disant qu’on ne comprenait vraiment une langue/ un peuple que quand on avait assimilé le rythme de ses silences. Ne pas chercher à tout prix à parler, à dire, et savoir écouter...
Sinon, par rapport au texte, j’ai un peu du mal avec ton paragraphe sur l’Espéranto. Effectivement, SI JAMAIS le but était de remplacer les langues vivantes par une langue-outil, alors ça serait vraiment débile.
Sauf que à mon sens, justement, il s’agit d’une simple « langue-outil » qui n’a pas vocation à remplacer les langues vivantes, qu’il est possible de (...)