Je suis à Paris depuis quelques temps... pas suffisamment pour avoir perdu quelques attaches après un quart de siècle d’existence intensément toulousaine. Y revenir c’est même parfois salutaire. Ça permet de déplacer le regard.
Oui, plus de 100.000 étudiants sur l’agglomération c’est énorme et ça constitue souvent un soutien fondamental quant au dynamisme de la vie culturelle, associative et des espaces autonomes. Après, il ne faut pas se leurrer, la minorité active est négligeable en rapport au nombre global d’étudiants et les boîtes de nuit périphériques font certainement plus le plein d’étudiants que (...)