« j’aime beaucoup ce que vous faites, c’est super-mignon ! » : la loose !
2005 ou 2010 : mêmes gens, mêmes postures, mêmes artistes. L’art contemporain est figé, renfermé dans sa logique marchande. Donc, zéro risque. Il ne faut pas effaroucher l’oligarque-investisseur.