Permettez que j’en rajoute une couche, camarades inconnus, Lémi et JBB, que je commence à connaître depuis que je vous lis, et avec qui je me sens des affinités de frangin. J’ai éprouvé le même agacement face à la prose des invisibles, agacement qui n’était là que parce qu’au fond j’étais en accord, que parce que nous sommes pétris de la même détestation de ce monde détestable. Et puis l’agacement a fait place à plus de sympathie, de connivence (tiens, je les aurais même invités à dîner) en lisant leurs textes dans Le Monde. Un peu couillon, que voulez-vous, je lis Le Monde. Depuis le temps, j’ai appris à le (...)