vendredi 11 décembre 2009 à 00h25, par Serge Quadruppani
Il y a des débats avec lesquels il faut mettre le plus de distance possible, loin, très loin, surtout quand ils sont lancés sur ordre du chargé de pouvoir de l’oligarchie française, organisés par l’une de ses talonnettes ex-socialaud, et supervisés par les préfets. Des débats qu’on ne peut approcher qu’avec une focale inversée, distanciée. Plus Français que lui ? Oh que non. Encore heureux...
J’aime la langue française, cette aristo corsetée serré par Boileau, dressée sous la férule de précepteurs sévères (...)