« dégoûté chaque jour un peu plus par toutes ces petites phrases qui en disent long. »
C’est ça, le truc : le dégoût s’intensifie chaque jour, et on tolère des choses qu’on aurait pensées intolérables peu avant. Nos limites bougent en même temps qu’ils les repoussent, c’est finalement le plus angoissant.
On a beau protester. On sent bien qu’on se fait enfoncer, qu’ils gardent la mainmise.