C’est nettement le plus faible des romans de la trilogie qui commençait fort avec American Tabloïd. Dans le dernier, et au contraire des deux autres, les agissements des personnages n’ont aucune conséquence sur l’histoire des USA, ils ne font que s’agiter piteusement, motivés par on ne sait quoi. Et quand Ellroy tente des propos “gauchistes”, par l’intermédiaire des journaux intimes souvent, c’est froid et morbide : on croirait du Unabomber. Les personnages féminins sont en effet risibles tellement elles sont désincarnées.
Déçu par la lecture et ça fait du bien de découvrir d’autres réactions négatives (...)