Mais non, il n’est pas question de « percevoir une petite contribution » des lecteurs on line, qui sortent le bouquin de leur imprimante (bon courage) ou qui le photocopient ou quelle que soit la technique de reproduction. On perçoit des droits sur l’édition papier, c’est un objet concret et une marchandise et en attendant l’abolition de la marchandise, on tire de quoi croûter de cette vente (ou de ce vol - mais svp évitez les bons libraires de quartier) d’un objet concret, et c’est normal (tant que la norme marchande durera). Par les autres canaux, les mots, les idées et les images sont restituées à (...)