« Les voix viennent de tous et le pouvoir n’est à personne. »
Nous pouvons tout nous permettre, puisque les voix viennent de moins en moins et le pouvoir n’est plus qu’une religion imposée, à distance et par procuration, par les magiciens du probable. Cette religion ne dispose que de deux temples dont les diacres, et sous-diacres, n’ont pour fonction que de distribuer l’aumône, pour aussitôt la ponctionner, en tant qu’obole, à ceux qui l’ont embrassée !
Croyance dont le dogme est une chimère ! l’église, un cadavre ! le con, vaincu, fantôme ! les prêtres, voleurs ! les lois, des comptes ! le dieu, (...)