La dialectique entre le Naboléon et les français a été fixée dès le Salon de l’Agriculture, il y a 3 ans :
× le français : "aah touche-moi pas, toi, tu m’salis !
× le président : eh ben casse-toi, pauv’con !"
Une dialectique qui n’a pas changé d’un iota depuis, nonobstant les enrobages pralinés.
Et pourtant le Lider Minimo faisait là une grosse erreur : il n’y a que le premier qui peut dire au second de foutre le camp.