C’est clair qu’il y a tout un travail de déconstruction à mener, qui ne sera pas simple.
Les gens qui sont derrière ces groupuscules sont plutôt retors ; eux, ils faut les éjecter des manifs, comme ça a par exemple été fait lors du cortège de soutien à Gaza, le 24 janvier 2009.
Mais pour les égarés sincères, c’est parler, parler et encore parler avec eux qui va être nécessaire. Là, il faudra de la patience et beaucoup de temps.
Bref, il me semble que le problème n’est pas prêt d’être (...)