Dans l’article de Bénédicte Charles, j’ai surtout relevé :
la violence aveugle et gratuite d’hier est aujourd’hui justifiée aux yeux de ses auteurs par les inégalités sociales — on punit le nanti, le riche, en l’anéantissant. Conséquence des discours de victimisation des jeunes des cités, présenté pendant des décennies comme de pauvres victimes de la société ?
Et la conclusion de Michel Fize :
« Nous sommes face à une sorte d’état insurrectionnel, anarchisant, qui pourrit notre quotidien. Et c’est pire que ce qu’on pourrait imaginer, parce que la fracture entre le réel et le fictif se réduit ».
Quand à (...)