@ SL :
Je connais aussi quelques lieux de ce type. C’est effectivement courageux d’envisager un tel projet et ça nous ramène à notre situation de personnes hors sol qui ne savent ni dresser des murs, ni planter des choux.
Mais, pour être franc, avant de penser à des communautés autogérées plus ou moins autarciques, je pensais à des réalisations alternatives économiques, écologiques, politiques et sociales séculières, bien inscrites dans notre société urbanisée et qui, malheureusement, n’ont rien d’utopiques mais ouvrent à leur manière d’autres chemins des possibles que l’autoroute du fun (...)