« l n’y aura rien pour les stopper, d’ailleurs, hors une opposition violente et de masse, ou une profonde révolution des consciences - celle de l’insurrection de la vie et de la beauté contre l’ordre mortifère des choses [3]. Ni l’un ni l’autre ne pointent à l’horizon. »
Bien d’accord avec toi JBB . La force du capitalisme est d’avoir fait croire au peuple qu’il était un horizon indépassable. En fait il l’a amollit aussi bien physiquement, que psychologiquement. Le seul semblant de remise en cause qu’on lui permette (encore) c’est de défiler une fois par mois, à condition bien sur de le faire sagement. Par (...)