Bien sombre constat. Que je partage. A ceci près que, face à l’ampleur du désastre et à la profondeur des plaies ouvertes dans le « corps social » - à grands coups de slogans populistes, d’obscénités nihilistes, de réformes liberticides ou rentabilistes, et de compromissions en tous genres - face à ce tombereau de fumier(s), je conçois les quelques plateformes web et organes de presse qui raillent l’engeance ploutocrate et autoritaire au pouvoir ou démontent ses mécanos rhétoriques et juridiques, comme un liant, une corde à noeuds, des points d’ancrage.. et permettent l’entretien d’une langue lucide face à (...)