Les joyeux drilles des compagnies républicaines de sécurité devraient pourtant le savoir : on peut matraquer n’importe qui - femme, enfant ou passant quelconque - , mais il ne faut surtout pas toucher aux journalistes. Au risque de susciter, sinon, une réaction outragée du reste des porteurs de carte de presse, affligés d’être traités comme le tout-venant. Cas pratique.
Mardi soir -fin de manif agitée à Bastille.
L’homme s’agitait beaucoup. Et brandissait sa carte de presse. Sésame supposé, face aux (...)