Bravo, tous ces mots en trop pour finalement conclure qu’une limace bave plus qu’elle n’avance ! Quel article écoeurant. L’auteur est un perdant parmi les perdants et il aime ça, il se roule avec délectation dans sa merde et fait durer le plaisir par-dessus le marché ! Chaque ligne transpire la défaite, on sent petit à petit nos épaules fléchir sous le poids d’une misère lourde, comme prisonniers d’un immeuble stalinien à jamais figé dans la grisaille et le silence.
Plus aucun doute possible : vous adorez souffrir et vous adorez perdre, vous êtes bien plus cinglés que tous ceux que vous dénoncez. (...)