@ Bernard Samson
C’est vrai que j’élude un peu la deuxième dimension du film (je le dis d’ailleurs en note de bas de page), celle qui met en scène la rédemption sociale. Reste que ce dont je parle, plus que dans le message, se situe à mes yeux dans la manière de filmer et présenter les personnages. Il me semble qu’il n’y a aucun misérabilisme là-dedans, aucune jugement porté sur cette forme de déchéance. Mais je dois bien avouer que scénario prend ensuite une autre direction, moins soluble dans mon point de vue...
Je n’ai toujours pas vu Louise Michel (je sais, je sais, il est plus que temps de réparer (...)