J’aime bien le titre provocateur. Après, c’est vrai que j’accorderais facilement ma confiance à un instit, beaucoup plus difficilement à un bidasse. Disons qu’il y en a un à qui j’accorderais le bénéfice du doute pas l’autre. Et que je ne signerais pas des deux mains une déclaration stipulant que Les instits occupent et colonisent la tête des mômes par la persuasion doucereuse. Mon vieux fond républicain brâme quasiment d’indignation. Tout prêt je suis à vilipender les politiques éducatives contemporaines. Beaucoup moins à mettre au pilori les instits et (...)