Cela fait environ un mois que le très virulent virus V1R1 2.0, celui de la grippe démoviaire, s’est abattu sur la Tunisie et que le monde civilisé tremble : le régime de Ben Ali paraissait si sain et robuste que personne n’imaginait un tel dénouement. Maintenant que l’épidémie s’étend à l’Egypte et à l’Algérie, les pronostics les plus pessimistes semblent se confirmer : une pandémie mondiale n’est malheureusement plus à exclure.
[[Ce pastiche s’appuie sur un constat : l’usage récurrent par certains médias du (...)