Je le trouve bien optimiste, ou bien imprudent, ton Sigmund, lorsqu’il parle d’une cure d’une dizaine d’années. Avec une patiente de ce calibre, il faut bien envisager une « analyse interminable », pour parler comme notre bon maître.
Au demeurant, de mon point de vue post-lacanien à la coloration discrètement hypermoderne, ce n’est pas un analyste que cette dame aux dégoisements diaboliques devrait aller voir, mais un exorciste.
J’en connais un (il nous en reste à la campagne), tu veux son mél (...)