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Figure du barbare et ultraviolence : la chute de Rome, bis repetita ?
samedi 29 mai 2010 à 23h17, par pièce détachée
La vignette en haut à gauche de ce billet représente l’horrible — disons, l’ennemi intérieur mangeant la sainte famille saignante, tel que les détenteurs de pouvoir ont les moyens d’en construire l’image et de l’agiter partout. Bien vu, charançon aux oreilles pendantes (mots doux ©Jim Thompson). Bien vu aussi parce qu’avec le peintre de la vignette, c’est volte-face : d’après Goya, il s’agit de l’horrible Cronos aux grands pouvoirs, dieu ou Titan n’importe, qui se croit menacé par ses propres enfants au point de les dévorer même pas cuits. Ses pouvoirs sont saufs ? — Ce père barbare, anthropophage, (...)
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