Oui mais non : je pense qu’il y a un contresens. L’ami Agrati n’est en rien « anarcho-gauchiste », pas même gauchiste ; la politique, il s’en fout, lui il écrit. Je crois même qu’on peut dire que « la lutte révolutionnaire », il s’en fout pas mal.
Quant à « l’apologie du viol comme arme de la révolte »… je suis curieux de voir où tu lis ça dans ce texte. Ecrire, décrire et imaginer n’est pas faire « l’apologie de ». Et encore une fois, il s’agit de littérature et non de politique. De la même façon - par exemple - que Breat Easton Ellis ne fait pas l’apologie de la torture dans American (...)