OOui On peut aimer Céline ; le Céline du « Voyage ». On sait ce qu’il a écrit par la suite. On est pas mort à crédit pour autant. Rien à voir avec la décontextualisation. Qu’est-ce qui aurait laissé prévoir dans la vie de Céline avant 36 qu’il aurait pu devenir un antisémite aussi farouche ? Ni sa vie, ni ses origines, ni son métier. Et, alors ? Par ailleurs, je me demande bien ce que vient faire Céline là dedans ; il était auparavant question d’un autre auteur dont Quadruppani faisait l’éloge.. Moi, ce qui ’avait un peu étonné était la figure de style préliminaire : « Certains l’ignoreraient » ou formule (...)