vendredi 28 octobre 2011 à 16h02, par George Weaver
Waouh ! envisager une proximité quelconque entre ce cureton de Leibniz et les libertaires, ça c’est un tour de force qui relève du scoop ! Ses monades n’ont strictement rien à voir avec la conception stirnérienne du monde, si c’est à ça que tu penses : Leibniz ne s’affaire qu’à une chose : défendre l’ordre existant, très ingénieusement, point-barre.
Et qualifier l’autrement plus sympathique Spinoza de « pré-libertaire » témoigne d’une complète incompréhension de l’un ou des autres, sinon de tous. Pourquoi pas Nietzsche, tant qu’on y est (...)