Il me semble qu’il y a quelques approximations tout de même...
Je passe sur le paternalisme de Michaël Lowy qui fait l’impasse sur les motivations proprement théologiques de la radicalisation, n’ayant personnellement pas le niveau pour détailler ce qu’il néglige.
Surtout, la réponse de Rome a été très loin du manichéisme que lui prête Lowy, et a en fait été bien plus perverse : le Vatican a repris à son compte la théologie de la Libération, et en a fait la pastorale officielle de l’église, tout en la renommant « Option préférentielle pour les pauvres » et en en critiquant certains aspects (parfois avec (...)