Je réponds ici au lecteur d’Article 11 qui n’aime pas la biodynamie. Bien que ne pratiquant pas la biodynamie de manière assidue, je trouve qu’elle a quand même l’avantage de pousser le vigneron (l’agriculteur) à se poser encore plus de questions sur ce qu’il fait, sur son environnement, sur les interactions entre ce qu’il fait et sa vigne ou son vin. On peut effectivement pousser cette réflexion plus ou moins loin, avec plus au moins de largesse d’esprit, mais on n’est pas obligé de l’appliquer comme une doctrine trop restrictive. Globalement, je trouve que les vignerons qui la pratiquent m’offrent un (...)