Intéressant mais manque de précision sur le profil sociologique des « bénévoles » : quel âge ont-ils ? Quelle est leur formation sociale et culturelle ? Ont-ils déjà vécu l’expérience du deuil ou du pré-deuil ? Qu’apportent-ils réellement aux malades ? Et que vont-ils faire de cette expérience, une thèse de doctorat, en vue de passer un diplôme, etc ? Et à quel type de malades ont-ils affaire ?